• Allez ça y est c'est décidé je vais prendre l'air ! rien de meilleur pour retrouver la pêche que 5 km de solipieds (bin oui de solitude à pieds lool)


    normalement quand j'arrive j'ai retrouvé le sourire allez je file avant que la nuit ne tombe. Bonne fin d'aprem les amis.


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  • Novembre 2002..nuit stressante..je ne réalisais pas ce qu'il s'était passé..je croyais être dans un cauchemard..j'attendais qu'on me réveille..



    03h32..la terre venait de s'arrêter de tourner..je raccrochais le téléphone appeurée..je restais figée dans les escaliers le regard dans le vide..elle sortait de la chambre..elle aussi réveillée par la sonnerie..silence total..j'entendis des pas préssés battre le sol..puis il parti en courant..le moteur de la voiture qui se mit en route et il partit en trombe..



    elle elle restait là..tout au bout du couloir..en face de moi..on se regardait..silence total..puis je me laissais tomber dans les escaliers..je priais du plus profond de moi..mais je savais déjà que tout était fini.



    04h00..après ces longues minutes de silence le téléphone sonna à nouveau..je la laissais décrocher..je ne voulais pas affronter ça..je restais assise dans les escaliers à côté du téléphone..puis je vis son regard se baisser..elle devint blanche..c'est alors que j'avais compris..je me levais et vis des larmes couler sur son visage..que dire, que faire..



    elle murmurait que tout cela était impossible..puis très vite elle fut dans un état second où il lui était impossible de dire un seul mot tellement elle pleurait. Et moi je ne comprenais pas..je restais froide..j'avais envie de pleurer mais rien ne sortait..



    ça me faisait tellement mal de la voir pleurer..non, pourtant c'était pas la première fois de ma vie qu'elle pleurait à côté de moi mais c'était la première fois que je savais que ce mal était irréparable. Je la prenais dans mes bras et la serrais du plus fort que je pouvais comme si c'était elle la fille.



    Puis je décidais de m'isoler un peu..je m'enfermais dans ma chambre.Je m'assis sur mon lit les yeux fixés dans le vide.Non c'est impossible.S'il vous plaît Seigneur reveillez moi.



    Je m'allongeais repliant la couette sur moi comme si quelqu'un me prenait dans ses bras..et je murmurais toute seule que c'était impossible. Je regardais le plafond et prononça comme un ordre : "quand je me reveillerais tout à l'heure je veux que tout ceci ne soit qu'un cauchemard.juste un cauchemard".



    Je décidais de fermer les yeux pour chercher le sommeil.



    06h00.. je me reveillais subitement. J'étais prise par une boule au ventre, un doute effroyable. Je me levais brutalement. Papa? Maman?



    Personne ne répondait. Mon coeur se mit à battre de plus en plus fort.Maman?..Maman?!



    incontestablement j'étais seule. Le silence me faisait peur. J'enfilais vite quelque chose pour sortir et je partais en courant toute seule dans la nuit. J'avais une peur, une peur grandissante qui s'emplifiait au fur et à mesure que j'avançais sur la route. Peur de découvrir la vérité? peur de ne jamais me réveiller de ce cauchemard?



    Arrivée au bout de ma course éffrénée j'attéris devant Sa maison. Je vis des tas de gens qui s'agitaient dans tous les sens..des pompiers, des gendarmes, ma famille, Ses amis.. tous le visage tombé.. je les vis enlever toutes Ses affaires de la voiture de l'entreprise.. non..non,je continuais à refuser d'y croire.



    tout le monde me regardais.. silence total..je décidais de rentrer dans Sa maison..à l'entrée encore pleins de gens..tout le monde s'avançait pour me serrer dans ses bras..L. était là..il m'a sérré dans ses bras tellement fort..ça m'a vraiment touché..il me laissa pleurer contre lui quelques minutes..



    puis je me retournais..et regardais la salle à manger..puis la porte d'entrée..comme si tout cela allait disparaitre..alors mon oeil fut attiré par quelque chose de rouge par terre..



    là partout par terre..personne n'avait remarqué..il y avait Son sang qui tachetait le sol..je fermais les yeux et tentais de respirer.."où est-il ???"



    on me répondis : "on l'a mis dans Sa chambre, dans le lit.tu veux aller Le voir?"



    je répondis brèvement non. Il fallait que j'y réfléchisse. j'éttérissais de haut. C'est là que je pris réellement conscience que la mort ne me ferait pas de cadeaux.. la mort ne touchait pas que les autres.. la mort savait pertinemment dans quoi elle tapait..et là elle avait fait s'écrouler toute ma famille en un seul tir.



    je sortis précipitemment..il fallait que je prenne l'air..je ne supportais plus de rester dans cette maison..c'était comme la nouvelle de Maupassant "La Morte"..tout était imprégné de Lui.. les meubles, les objets, le sol, les tableaux, la cuisine, le canapé, la télévision.. tout, tout.



    s'enchainaient les repas funéraires et les veillées funèbres..je n'avais pas faim..j'avais l'impression de manger face à face avec la mort..je Le voyais de partout..je me disais qu'il fallait être forte mais plus rien n'empêchait mes yeux de couler.



    Un jour..deux jours..puis trois..tous les jours le même scénario.."il faut que j'aille prendre l'air". Alors j'eu l'idée d'aller m'isoler au fond du jardin..contre la route..là où il n'y aurait personne..



    Je m'adossais contre le portail noir..pensive..je me rappelais Son souvenir...



    je restais là dans ce silence apocaliptique durant quelques longues minutes..les yeux jetés dans le vide..c'était le début d'une lente agonie..quand soudain mes yeux se levèrent droit devant moi attirés par quelque chose en mouvement.



    Quelqu'un qui bougeait dans la voiture face à moi.. dérrière le pare-brise d'une voiture qui me paraissait familière..c'est alors que je reconu cette silhouette qui m'avait tant marqué..je crus avoir une allucination..je ne parvenais pas à croire ce que j'étais en train de voir..



    alors j'ouvrais le grand portail.. je m'avançais vers la voiture..face à face..je m'arrêtais pile lorsque je fus arrivée devant le capot de celle-ci. Je fus alors saisie d'une haine qui ressortait du plus pronfond de mon être.



    Ses deux yeux me fixaient comme pour me provoquer..oui c'est ça..elle était revenue après toutes ces années pour nous narguer.elle croyait sans doute que c'était l'heure de sa gloire.Je ne bougeais plus, je restais figée devant un tel acte inhumain.elle avait osé, la garce, venir voir s'Il était bien mort.



    Mon coeur se conssumait de l'intérieur..lorsque j'eu la force de parler.."Espece de putain, comment oses tu?! Comment oses tu encore venir ici après tout ce que tu nous as fait?! Il est mort, ll est mort et tout ça c'est à cause de toi! Après toutes ces années..te voilà enfin en face de moi..tu me dégoûtes..tu n'as pas de face. Je te promets que je te ferais payer tout ça. Oui tout ça c'est à cause de toi. Tu es profondément inhumaine, tu oses..tu oses venir vérifier s'Il est bien mort?! Tu n'auras rien.. Je me vangerais.. tu ne mérites pas de vivre.. tu vas mourrir!"



    Elle baissait les yeux..je la regardais du regard le plus méprisant que je pus..soudain elle tourna son visage rachitique rongé par l'alcool vers lui..je n'entendis pas ce qu'elle lui dit..



    La voiture démarra..je ne voulais pas bouger de devant..puis il commença légèrement à me pousser vers la route..alors je lui criais "tu n'as pas le droit, tu m'entends espèce de putain tu n'as pas le droit!"



    soudain un policier m'attrapa par le bras.."ça suffit comme ça, écartez-vous de ce véhicule jeune fille!"



    j'obeis à contrecoeur.. la voiture avança doucement vers la sortie de l'allée..je la regardais à travers la vitre avec dégout.."je te tuerais tu m'entends sale garce, je le promets, je te tuerais !". Elle me fixa d'un air supérieur..puis la voiture disparue.. ça faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas revue..et j'avais reconnu son visage..



    elle était devenue une vraie loque.. le policier me lacha le bras..je le poussait brutalement pour lui signifier qu'il n'aurait pas du me retenir. J'avais un sentiment d'injustice au fond de moi. Alors comme ça on me retenait moi et on laissait les coupables s'enfuir..ou plutot devrais-je dire la meurtrière.



    j'avançais dans l'allée pour retourner dans la maison. Personne n'osait dire un seul mot, ils l'avaient tous regardé d'un air méprisant.. pour moi ça ne faisait aucun doute, c'était de la provocation. elle préparait quelque chose, je sentais déjà le danger venir. être pervers dénu de toute marque d'humanité.. elle avait tout détruit..et maintenant elle était venue récupérer tout ce qui ne lui avait jamais appartenu.



    Je serrais Son fils dans mes bras. "je te promets je ne la laisserais pas faire. elle ne te fera plus jamais de mal, tu m'entends, plus jamais!" et il était devenu à ce moment là comme mon frère.. mon trésor que je devais à tout prix protéger de ce monstre. et il me regarda d'un air perdu avec son ptit regard.. le regard d'un enfant de 13 ans à peine.. le regard d'un orphelin fils d'un monstre qui l'avait séquestré puis lachement abandonné et d'un père subitement mort. Ce n'était que le début de la fin.



    Aujourd'hui elle est revenue à la charge.. elle veut tout..à l'époque j'avais 14 ans  et lui 13.. aujourd'hui j'en ais 17 et lui 16.. tout a tellement changé dans notre vie..on est devenus de véritables inséparables..et elle veut tout..l'argent, les enfants, la maison.. j'ai juré que si elle voulait le reprendre il faudrait qu'elle me passe sur le corps..je m'enfuirais au bout du monde avec lui s'il le fallait mais je ne le laisserais jamais entre ses mains.



    C'est mon sang, je l'aime ce ptit con. je le protegerais comme son père l'aurait fait jusqu'à sa majorité. Une fois majeur il sera sauvé. Les juges disent..les jugent disent que l'affaire avance.. Les juges disent..ils disent ça depuis le jour de mes sept ans. Et moi je dis que la justice n'y peut rien et qu'il faut que ça se termine avant qu'elle ne provoque la mort de quelqu'un d'autre. Les jugent disent qu'elle a le droit.. mais ils ne sont pas au courant de tout le mal qu'elle a pu nous faire..elle n'a plus aucun droit.Les droits sont réservés aux humains, elle n'a pas de coeur.  les jugent disent mais ne font rien..



    Et moi j'attend patiemment ce jour où la mort l'achevera.. on dit que la vengeance n'assouvit rien..mais là au moins nous pourrons vivre en sécurité sans sa menace dans notre vie et je pourrais enfin dire que tout est fini.


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  • Je me suis couchée tard.. avec cette migraine qui a duré toute la journée..cette horrible migraine dont je n'ais pas réussi à me débarasser.. 00h00 39° de fièvre..j'ai tremblé toute la nuit..je n'ais pas céssé de trembler une seule seconde..quand à dormir..dormir je n'y suis pas parvenue. J'avais une terrible envie de vomir,mais ce n'était pas une simple envie. Envie de te vomir dessus pour toute la haine que j'ai contre toi.







    Aujourd'hui première fois depuis un an que je réécoute "je n'ais que mes deux yeux pour pleurer" de la Grande Sophie..chanson assez symbolique pour moi..chanson des pires moments..





     



    tu vois c'est à cause de toi tout ça. Mon corps dit qu'il va mal..on croirait que je suis vraiment malade mais je sais très bien que c'est faux.. Tout cela est psychique. Un jour le psy m'a dit : "le corps exprime seulement ce que vous n'arrivez pas à exprimer avec votre esprit. Il va mal et vous ne dites pas tous vos secrets alors.. votre corps a décidé de se rendre malade. Il lance un appel de détresse." ça faisait tellement longtemps, tellement que je n'avais pas fait de crises psychomatique de ce genre là. Tu vois ce que tu m'as fait.





     



    Là je tremble encore.. comment une amitié bloggeuse est devenue un enfer.. dis moi comment on fait pour être naive à ce point là? comment on fait pour confier ses secrets à quelqu'un en qui on a une entière confiance et qui nous menace de faire de notre vie un enfer si on ne cède pas au chantage? comment on fait pour tomber sur des gens qui n'ont à ce point là que ça à faire de leur temps de traquer les autres et de se mêler de choses qui ne les regarde pas? dis moi pourquoi est ce qu'on garde son ennemi à ses côtés?! Un sentiment d'être en sécurité nul part. 





     



    J'espere que tu es fière de toi, fière du danger que tu peux représenter à mes yeux, fière d'avoir refait naitre ma peur et de me faire ressortir armée, fière que je cède à ton chantage.





     



    Cesse donc de te réjouir, un jour viendras ton tour et tu paieras tout ça.





     



    Rigoles..rigoles..tu as gagné..j'aurais voulu mourrir plutôt que de l'avouer mais pour cette fois tu as eu raison. Tu as même eu raison de moi. Je suis dans un sal état... et tu prends un malin plaisir à intervenir dans ma vie alors que tu n'as rien à y faire. Tu n'aurais jamais du.





     



    Un jour viendra ton tour, un jour viendra ton tour ne t'en fais pas.



     



     



     


    Tu n'y échappera pas.


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  • Je marchais dans ma maison..elle me paraissais immense..je semblais me perdre entre les portes et cherchais en vain celle de ma chambre.



     


    Puis j'ouvris enfin la bonne porte et au moment de prendre la poignée dans ma main je m'apperçevais que je n'étais pas seule. Il y avait une jeune femme dérrière moi, une blonde. Je lui dis " excuses moi je n'ais pas trop eu le temps de ranger mais je t'en pries entres." elle me répondis "oui, merci. Mais pourquoi n'as tu pas eu le temps de ranger?"



     


    "et bien..je..je ne vis pas souvent ici..je suppose être rentrée hier soir pour y dormir." je semblais ne plus trop me souvenir de ce que je faisais là et où j'avais passé les autres jours de ma vie. J'ouvris la porte et regardais les 4 sacs poubelles qui se trouvaient en dessous d'un arbre en floraison.. j'avançais..elle me suivait..je me demandais pourquoi il y avait des sacs poubelles dans ma chambre et surtout..d'où venait cet arbre..



     


    puis j'avançais encore..il y avait pleins de jeunes que je connaissais plus ou moins..et mon meilleur pote qui habite à plus de 1000 kilomètres de chez moi..étrangement je ne calculais personne..je n'avais même pas l'air surprise de les trouver là..il y avait une clareté incroyable..alors je regardais le plafond..il n'y avait pas de plafond..



     


    la jeune fille s'allongea par terre à plat ventre. je fis de même. Je tournais la tête et lui dit "je..je ne comprends pas..où suis-je?". Elle me répondis qu'elle adorait ma chambre. Alors je tournais la tête vers l'endroit où était censsée se trouver ma fenêtre et je trouvais à la place..rien du tout! un grillage vert et fin qui remplaçait le mur. Je me levais pour m'avancer et regarder ce qui se trouvait en bas et il n'y avait que des rochers en dessous.



     


    Perdue je me collais contre la jeune fille par terre. Elle s'amusait avec ses jolis cheveux blonds.. puis je me tournais vers elle pour observer son visage et elle me sourit. Je m'apperçu à ce moment là que je ne la connaissais pas. Elle me parlait et je lui répondais sans trop être présente.. puis naturellement j'appuyais ma tête contre son bras pour lui donner une preuve d'affection..comme si on se connaissais depuis toujours..



     


    elle n'arrêtait pas de me sourire..puis je regardais à nouveau en direction du grillage où j'entendais comme un bruit d'eau. Il y avait maintenant à la place des rochers une rivière avec une petite île pleine de verdure et des gens tous habillés en smoking noir qui tentaient de traverser le cours d'eau. Je trouvais ça très joli et ne dit rien.



     


    Puis je me retournais et il n'y avait plus personne, tous les jeunes avaient disparus sauf elle et moi. Je me ralongeais à côté d'elle sans rien y comprendre.. au bout de 10 minutes seulement sa main effleurait la mienne..elle me donna sa main..étonnement je me laissais faire..j'avais l'impression que nous étions seules au monde..elle me regardais d'un air calme..me caressait la nuque d'un geste tendre et déposa sur mes lèvres un baiser volé.Puis elle me dit :"et tes parents..quand me présenteras-tu à eux?"



     


    surprise je lui répondis :"je..je ne sais pas encore..il est trop tôt..je préfère que..que mes parents ne sachent pas pour le moment s'il te plaît."



     


    Elle se releva toujours aussi calme..je la suivis jusqu'au centre du petit jardin qui était censsé être ma chambre. Je m'applatis tendrement sur le sol..et le sol devint bleu clair..ce n'était plus de l'herbe fraiche mais de la moquette..puis sa main me caressa le dos..je sentis qu'elle commençait à me masser légèrement et me repoussa.



     


    Je relevais la tête et n'y compris rien. Je la regardais d'un air perplexe et silencieux. Elle enleva ses chaussures et là devant moi s'assis sur une belle banquette bleue lavande qui se trouvait dans l'angle de la pièce..d'où sortait cette banquette? je me demandais comment elle était arrivée là.



     


    puis elle me murmura "j'ai mal au ventre, il fait froid dans ta chambre." Puis je m'assis face à elle et lui répondis "oui c'est normal je ne suis pas venue ici depuis des mois."



     


    je me levais et m'assis à côté d'elle sur la banquette.. elle me regardais fixement.. puis je ne sais pas pourquoi je lui dit que j'étais avec un homme.. elle me répondis tendrement un simple "oui, je sais." et ses yeux m'attiraient vers elle.. je me sentais si bien que s'en était étrange.. je m'allongeais contre elle et posais ma tête sur son ventre.. puis il y eu un silence parfait.. et..



     


    j'entendis un son énorme qui me stressa.. j'ouvris les yeux.. mon coeur battait fort.. je constatais que c'était mon portable qui sonnait.. je répondis comme si j'étais reveillée depuis longtemps.. fin de la conversation je raccrochais. Je me tournais et regardais d'une drôle de façon ma chambre, il y avait bien des murs et elle était minuscule comparée à mon rêve.. il n'y avait pas d'arbre en fleurs ni de sacs poubelles près de la porte.. pas de belle banquette bleue.. je regardais sous mon lit.. seulement du carrelage..puis j'entendis un son d'eau..et je me tournais instinctivement vers la fenêtre.



     


    Elle était ouverte et encastrée dans un mur. J'ouvris les volets, il pleuvait. Déçue je laissais mon téléphone par terre et essayais en vain de fermer les yeux pour connaître la fin de mon rêve étrange.. mais le sommeil ne voulait pas revenir, ce n'était qu'un rêve, juste un simple rêve et j'étais seule dans cette pièce.. la jeune femme avait disparu et je me sentais un peu comme éffrayée de revenir si brusquement à la réalité.


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