les gens coincés d'esprits.. les gens qui ne croient plus en rien.. qui n'ont plus aucun rêve... qui prononcent le mot "impossible"... les gens qui rien que par une phrase arrivent à nous décourager.. les gens qui sont morts avant d'être morts..

les gens qui prennent leur parcours pour exemple parce qu'ils ont réussi.. oula.. réussi quoi.. le droit de vivre une vie emmerdante?!

ils ont pris un chemin d'où ils étaient certains d'être en sécurité.. ne jamais tenter de dévier du chemin... de faire sa vie autrement que comme tous ces moutons qui ont le même parcours.. les mêmes ambitions.. tous les mêmes peurs.. tous les mêmes projets.. tous pareils !

que des lâches.. se mettre en sécutité et un point c'est tout.. pas de réelle ambition.. mais où est passée l'envie de partir à l'aventure? l'envie de tenter le tout pour le tout? l'envie de viser plus haut que son cul? l'envie de vivre tout pleins de choses? la curiosité qui fait de la vie quelque chose de pationnant? et l'aventure, l'aventure?!

à 45 ans déjà on dirait que vous êtes vieux et grabataires au point de ne plus avoir de rêves, plus de projets, plus d'envies, et surtout pas envie de croire à quoi que ce soit qui ressemblerait à de l'espoir ou qui pourrait embellir votre vie. La routine, une routine interminable et un esprit coincé vraiment.. épuisant.

vous êtes vraiments des êtres décourageants et exaspérants.. rien n'est impossible.. la seule chose qu'on ne peut contrôler c'est la mort.. tout est maîtrisable du moment qu'on y met la volonté.

Vous croyez ci, vous croyez ça parce que vous vous basez sur votre vécu. Tout le monde n'est pas forcé de décalquer sur votre vie. êtres stupides dénus de toute ouverture. Vous gachez les dernières années de votre vie tout seuls, et vous gachez l'avenir de ceux qui veulent y croire encore.

Comme on dit l'espoir fait vivre, vous n'en avez plus. Vous êtes désespérement morts par vos esprits si étroits que vous pensez inconcevable qu'on puisse avoir un seul rêve ou une seule grande ambition. vous êtes vous mêmes emprisonnés dérrière les barreaux de votre tête, coincés comme de véritables moutons parqués entre des fils électriques sur un tout petit bout d'herbe.. on se contente du bonheur qu'on a.. et puis il fini par se ternir.. ah mais quel ennui.. je vous plaint vraiment..